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Eh oui, déjà repartis à l'autre bout du monde... dans le Cotentin

jeudi 19 mai 2016

Bilan Argentine


Nous le savions déjà, l'Argentine est un pays tellement vaste qu'on ne pouvait pas y voir facilement tous les lieux qui nous attiraient, éparpillés aux 4 coins du pays. Les choix de destinations ont été guidés par le climat (le sud lointain étant trop froid à cette période), et la facilité de transport, car nous avions décidé de privilégier les transferts en bus et de ne pas avoir recours à l'avion. 
Malgré presque 3 semaines passées dans ce pays, on a vraiment eu l'impression de ne l'effleurer qu'à peine, et on a eu quelques petites déceptions par rapport aux ambiances qu'on s'attendait à y voir. Il aurait certainement fallu prendre beaucoup plus de temps pour absorber les longues distances et voir plus de paysages diversifiés, de parcs nationaux, et espérer les parcourir un peu à pied... Ca reste un pays riche de culture, d'histoire, et de milieux naturels variés. Même si la société argentine, elle, ne donne pas vraiment l'impression de prospérité...





On a aimé : les empanadas, les fabuleuses "cataratas", marcher entre la jungle et l'eau à Iguazu, essayer d'apprendre l'espagnol, le confort des bus, quitter San Luis, traverser les Andes, Santiago du chili, Buenos Aires, ses magnifiques immeubles, la casa Rosada, voir les mères de place de Mai en vrai, le spectacle de tango, le vin argentin, les oeuvres d'art et les messages politiques sur les murs des villes, les croissants un peu collants du petit déj, l'accueil à Mendoza, le resto la Patancha, notre logement-palace à Buenos Aires, observer les drogués du maté avec leur nécessaire (thermos, tasse, paille) sous le bras, retrouver les parents Foutel et partager repas, conversations et promenades avec eux à l'autre bout du monde.




















On a moins aimé : les frais bancaires faramineux, échouer à notre balade dans la sierra, ne pas avoir croisé une seule vache ni un gaucho de tout le séjour, les chiens errants agressifs et semeurs de déjections sur les trottoirs, les pourboires obligés aux videurs de bagages des bus, être déçu par les  viandes goutées (soit panées en "milanesa", soit très fines et très cuites...), San Luis.



2 commentaires:

  1. salut la famille, ahhhhhhhhhh zêtes en retard de qqs jours et moi je prolonge! shame on me... vite vite mon agenda et nos souvenirs... on a aimé: découvrir la chapelle Corneille avec Clara, le 1er concours de poney de Camille (épreuve de maniabilité), le vendredi 6 mai sans école et les jours fériés, la première tonte et le jardinage qui reprend, la confiture de rhubarbe maison, la soirée country avec les 2 Marion et le premier barbecue! On a moins aimé : l'emploi du temps au collège (c'était vraiment l'année pour partir), les heures d'études et/ou sans profs, les trombes d'eau qui s'abattent de temps en temps, la table de 4 pour Camille, les grèves qui bloquent le port du Havre (et la marge alors!!!)! Hors concours pour cette période encore: votre blog ... toujours au dessus de la mêlée of course ! Bises et portez vous bien - La Pain family

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  2. Bon alors nous, on a récupéré les parents. A peine fatigués, ils ne parlent plus que l'espagnol, ils veulent payer en pesos... on ne les reconnait plus ! Trêve de plaisanterie, ils ont l'air ravis de la découverte du pays et de ces retrouvailles avec le fiston et le reste de la famille. Si ça continue, on va faire pareil ! Biz à tous, et à très vite.

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