Au lendemain de cette dernière journée
bien riche, on décide de profiter du temps gris revenu pour rester
tranquillement ce matin à l'appart. Au programme, quelques devoirs
(déclinaisons latines pour Arthur, satanées fractions pour Ilona,
écriture et nombres pour Timéo), la préparation de la suite du voyage
(recherche de chambres d'hôtes pour l'Equateur et Cuba) et révision de
nos acquis en Espagnol pour les parents.
On
sort à midi pour trouver un resto au kilo. Celui qu'on essaye est assez
moyen, mais on réussit à se nourrir correctement. On effectue une
promenade digestive dans notre quartier, on repasse par l'escalier
Selaron (qu'on trouve vraiment très joli), puis on tente vainement
d'accéder au Parc des ruines.
On trouve bien le lieu, mais l'attitude du gardien à l'entrée, qui remet un cadenas sur la porte dès que les agents d'entretien sortent une poubelle, nous fait dire qu'à priori c'est fermé aujourd'hui...
On trouve bien le lieu, mais l'attitude du gardien à l'entrée, qui remet un cadenas sur la porte dès que les agents d'entretien sortent une poubelle, nous fait dire qu'à priori c'est fermé aujourd'hui...
On repart
tranquillement vers chez nous, quelques gouttes nous accompagnent à
notre retour des petites courses qu'on vient d'effectuer.
Le
rayon de soleil de cette journée viendra de notre fin d'après-midi, où
après quelques manipulations et conversions de fichiers, j'arrive enfin à
projeter sur notre grande télé le dernier blockbuster en date: Les
aventures de Rabbi Jacob. Cerise sur le gâteau: tout comme les enfants,
Anne prend plaisir à (re)découvrir cette œuvre, l'ambiance générale fait
oublier cette impression de grisaille qui flotte sur la ville depuis ce
matin.
Le
lendemain, notre programme est assez flou, seule certitude: on retourne
manger au Bar Do Mineiro ce midi. On adapte les quantités ingurgitées
au petit-déjeuner, puis on part à pied à proximité de notre quartier.
On passe à proximité d'un sambadrome. Il s'agit de gradins en béton qui se font face, séparés par une grande avenue (aujourd'hui en travaux, comme une partie de la ville). Cet équipement sert au carnaval, pour le défilé des chars. Vide, c'est pas très impressionnant, plein à craquer, ça doit être une autre ambiance !!!
On remonte tranquillement, on emprunte un tunnel assourdissant, mais néanmoins pratique pour éviter de trop gros détours, puis on va s'installer à notre resto.
On prend un peu moins de nourriture, on garde les jus et la Caïpi (bien sûr !!), on craint de devoir prendre un dessert... mais une fois les assiettes terminées, finalement, on a le ventre plein.
école militaire |
On passe à proximité d'un sambadrome. Il s'agit de gradins en béton qui se font face, séparés par une grande avenue (aujourd'hui en travaux, comme une partie de la ville). Cet équipement sert au carnaval, pour le défilé des chars. Vide, c'est pas très impressionnant, plein à craquer, ça doit être une autre ambiance !!!
Samba... de Janeiro !!! |
On remonte tranquillement, on emprunte un tunnel assourdissant, mais néanmoins pratique pour éviter de trop gros détours, puis on va s'installer à notre resto.
livraison de pharmacies |
On prend un peu moins de nourriture, on garde les jus et la Caïpi (bien sûr !!), on craint de devoir prendre un dessert... mais une fois les assiettes terminées, finalement, on a le ventre plein.
Promenade
digestive au Musée Historico Nacional, qui retrace, assez logiquement
vu son nom, l'histoire riche du Brésil, de sa découverte au 16ème siècle
jusqu'à nos jours, en expliquant et mettant en scène ses liens forts
avec le Portugal. Beaucoup d'objets, de toutes les époques, pas grand
monde dans le musée, la visite est agréable... mais passe trop vite, on
est arrivé un peu tard, le musée ferme à 17 heures.
pour les amateurs de belle chignole !!! |
Retour à l'appart, manger, dodo (avec le bruit des bus, mais on a du mal à s'y habituer).
Mercredi,
dernière journée pleine à Rio. On nous promet un temps bien ensoleillé,
donc on fonce pour découvrir le Jardim Botanico.
De grandes allées, des cactus, des grands arbres, des orchidées, des petits singes qui se promènent, quelques ruches... c'est grand, c'est bien fait, on en profite. Seule la zone amazonienne est en travaux, ce qui la rend inaccessible car très boueuse.... et donc assez fidèle à la réalité. Tout ça se fait sous l’œil lointain du Corcovado, qui doit voir flou, car les nuages sont finalement assez présents.
De grandes allées, des cactus, des grands arbres, des orchidées, des petits singes qui se promènent, quelques ruches... c'est grand, c'est bien fait, on en profite. Seule la zone amazonienne est en travaux, ce qui la rend inaccessible car très boueuse.... et donc assez fidèle à la réalité. Tout ça se fait sous l’œil lointain du Corcovado, qui doit voir flou, car les nuages sont finalement assez présents.
On
ressort du jardin, on prend la direction du quartier Leblon/Ipanéma. Le
quartier est plutôt riche, ça se voit dans les magasins, les tenues
vestimentaires des gens qui prennent leur pause du midi, les immeubles
propres et bien tenus.... On peine à trouver un resto au kilo, les
minutes défilent, et les humeurs rejoignent l'estomac, à savoir dans les
talons !!! Heureusement, on finit par trouver ce qu'on cherche, la
cuisine est très bonne, très variée, pour un prix correct.... On a eu
chaud !!!
Puis, on part vers la
célèbre plage. Du vent, un soleil plus que discret... seuls quelques
forcenés du torse nu/plaquettes de chocolat/tatouage font les beaux.
Pour le reste, la baignade est interdite à cause des gros rouleaux qui
déferlent.
Certains surfeurs en profitent, nous on est un peu déçu, et on a presque un peu froid. Mais on ne brave pas l'interdiction, car globalement, il n'y pas personne dans l'eau. On marche un peu le long de la plage, puis on reprend un bus pour chez nous. La circulation est au pas, on met 1h30 à retrouver notre appart.
dernier coup d’œil sur Copacaban |
Certains surfeurs en profitent, nous on est un peu déçu, et on a presque un peu froid. Mais on ne brave pas l'interdiction, car globalement, il n'y pas personne dans l'eau. On marche un peu le long de la plage, puis on reprend un bus pour chez nous. La circulation est au pas, on met 1h30 à retrouver notre appart.
Aujourd'hui,
le réveil est mis à 3h43 précises. Notre avion décolle à 6h40, on a
réservé, via notre logeuse, un taxi à 4 heures. On arrive sans encombre à
l'aéroport, on s'enregistre, et on s'aperçoit que pour le vol vers
Santiago, on a 5 places séparées !! Après quelques arrangements, on
regroupe Anne, Tim et Ilo. Arthur se retrouve tout seul, et moi aussi
quelque rangées plus loin. Les autres passagers vont apprendre à nous
laisser passer pour les toilettes, les prêts de liseuse et de tablette.
1er
vol sans encombre, l'arrivée sur Santiago avec vue sur l'Aconcagua est
magique (c'est sûr on reviendra !!). Puis, on attend notre
correspondance pour Guayaquil, après nous être séparés des ciseaux qu'on
avait gardé avec nous dans le 1er avion, mais qui n'ont pas passé le
contrôle pour le 2nd !!
Finalement, 2ème vol sans encombre, si ce n'est un petit Matéo de 4 ans, qui ne tenait pas en place, enchainant les caprices et les pleurs, et pendant 4h30 c'est un peu long. Arrivée à notre chambre d'hôtes qui, comme à Buenos Aires, est tournée vers le milieu artistique... il faut croire que ça nous correspond bien !!
On a maintenant 7 heures de décalage avec la France, ce qui nous surprend, vu que depuis notre 1er passage par Santiago, nous en avions 5... nous avons donc perdu 2 heures, on ne sait où !!!
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