Bilan Equateur

Petit pays par la taille, on a découvert que l’Equateur est d’une grande richesse géographique : séparé entre la zone de la côte pacifique à l’ouest, la zone montagneuse de « l’avenue des volcans » au centre, et la zone de la jungle Amazonienne à l’est (sans compter les Galapagos…).

C’est un vrai coup de cœur que nous avons eu pour ce pays. Il nous a offert des destinations natures aux paysages grandioses qu’on a pu arpenter et voir de près, et des villes uniques riches d’histoires et de culture. On y a aussi trouvé un accueil chaleureux de nombreux hôtes sur notre chemin, avec un vrai désir de faire découvrir leur pays, ce qui a joué dans notre bon ressenti du séjour… On serait bien resté un peu plus longtemps par ici !

On a aimé : les tortillas de la marchande de Quito, le sourire radieux des enfants les bananes grillées, les volcans majestueux, passer quelques jours en pleine nature dans une hacienda (on a rattrapé le loupé de l’Argentine !!), la facilité de déplacement en bus, faire du rodéo en 4x4 dans les chemins boueux, passer 4000 m d’altitude comme une fleur, les façades des maisons coloniales, la cathédrale de Cuenca, la gentillesse de Annie et Fausto de « la gringa » de Quito, l’attention et la disponibilité de Sonia à la « casa montalvo », les bons plans de Arnaldo à la casa « cino fabiani » de Guayaquil, se baigner dans la montagne en face du cotopatxi, arpenter les marchés sous l’œil amusé des locaux, se nourrir facilement et à tous les prix, les tickets de bus bon marché, les grillades délicieuses, la diversité des fruits frais goûtés, les tenues colorées typiques des femmes, les chapeaux portés avec élégance par tous, l’absence de moustiques, le jardin de rêve et la salle de jeux de l’hacienda pour les enfants, tester des bières locales avec un serveur de bon conseil.

On a moins aimé : le prix des timbres (équivalent à 4 repas pour une personne, pour envoyer une lettre en France !!), oublier notre 2è frontale dans une des chambres, les prouts de gasoil des bus urbains, la fermeture du téléphérique de Quito justement les 3 jours où on y était, passer du temps pour récupérer des sous le premier jour, apercevoir juste une matinée le sommet du Cotopatxi à cause de la brume, perdre notre fille (même momentanément ) dans le bus à Quito.